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salut ,ce vendredi je me suis arreté ,auprès de ce chef d 'oeuvre et bien le crépissage est bon ,il n'a pas changé ,malgré le temps ,le béton est toujours le meme ,il tient bon lui aussi .j'ai rencontré deux ou trois personnes ,pour avoir une idée sur la date exacte de construction ,j'ai pas pu l' avoir malheureusement
L'endroit me rappelle, un après midi 62. On était aux jours de l'indépendance .Affreville etait pour nous la seule grande ville ou on pouvait jouir et voir beaucoup de monde et beaucoup de magasins Et nous gamins de ce temps, sans le sou dans nos poches on cherchait à vagabonder partout.
Cet après midi là, au carrefour l'anixe(l'annexe) je me trouvais avec Slimane Aouisset à faire de l'auto stop pour aller à Affreville.
Et voilà que Fantoche( Rabi yarhmou) au volant de sa fameuse 404 noire s'arrêta à nos pieds .On avait peur de monter avec lui, mais c'est cette peur là qui nous incitât à monter sans qu'il nous le dise .Il s'est arrêté pour nous on doit monter.
On s'est mit derrière ,il ne nous parla que peu .Ou alliez vous.
Comme un seul, notre réponse fut à affreville ya ammi.
Derrière au dernier coussin entre nous une arme reposait. C'était une mitraillette. Qui aurait pu croire en ce temps que deux gamins voyageaient avec le Grand et Fameux Fantoche et encore dans sa fameuse 404.C'était de l'imaginable et de la folie. Et nous on l'avait fait. Et pourtant tout le monde craignait de se trouver dans son chemin.
Juste à cet endroit, voilà qu'un veau venait traverser la route à notre passage. le veau sauta en l'air, et le visage de Fantoche devint tout rouge de colère, il s'arrêta plus loin et nous dit donnez moi cette arme.
il descendit l'arme à la main, nous de peur on est pas descendu. Je crois que le veau à bien fini ses jours bien avant que Fantoche ne l'approche.
IL retourna vers sa 404 sans se soucier même pas des dégâts causés. IL rebroussa chemin et nous avec. On n’avait pas intérêt à lui dire de bien vouloir nous laisser là. Mais il nous parla quand même, moi je retourne est ce que vous retournez aussi. On a hoché la tête pour dire oui pour ne pas qu'il sache que nous avions perdu la parole et que nos pantalons sont bien mouillés. Notre âge ne dépassait guère les onze ans.
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