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Bonjour Kaddour.
Cela m?a permit de lire les groupements indigènes de la commune mixte de Djendel, à l?endroit de ?la tribu des Matmata?.
D?autres écrivains ou militaires de l?époque ont aussi écrit de leurs parts des histoires mais de sources peut etre un peu fiable.
J?ajoute aussi que le colonisateur a mis à l?abri beaucoup de notre histoire pour cacher la vérité, surtout la période arabe et musulmane.
Pour les sources de mon ami, l?espère avoir ce livre de Matmata.
Je te signale aussi que quelques djendelis détiennent des documents et livres tellement riches en histoire et j?ai peur qu?ils leurs arrivent comme ce vieux du cote de Ridel (Matmata) qui détenait
jalousement une grande caissette qu?un colon le lui a laissait, et que ses enfants ont décidé de l?ouvrir plus tard, ils ont découvert qu?une souris est passée avant et a réduit en miette toutes les feuilles d?un grand livre.
Salem
Autrefois les hôpitaux étaient équipes de bibliothèques pour le personnel et les malades pour passer le temps.
Parmi ces livres on pouvait trouver ceux d?histoires, de contes etc?
Un de nos amis qui dans son jeune age a été hospitalisé au centre de Meftah, Blida, a trouvé un livre portant le titre ?Metmata?, qui citaient cette région de Djendel mixte de l?ancien temps.
D?après ce livre, les Metmatas sont d?origines yéménites. qui se sont installes aux environs de Djebel-louh. Ces gens préféraient le banditisme au lieu du travail, choisissaient les collines à proximité des plaines pour attaquer les caravanes qui passaient par là.
Mais les habitants d?autrefois de Djendel attaquaient ce groupe, et le harcelaient qui avait fini de quitter ces lieux pour l?ex Orleansville.
Leur chef moura et les fils se sont disputés le trone et ont fini par se séparer en deux groupes qui pour la Tunisie et le reste retournés à l?actuelle Metmata.
NB, j?ai essayé de me procurer ce livre, mais d?après un ancien infirmier, l?Hospital a été plusieurs fois rénové et les livres déplacés d?un endroit à l?autre et beaucoup on fini par quitter ce lieu à gauche et à droite.
Il m?a promit de le rechercher
Bonjour Omar,
Il m'a semblé avoir compris que les tribus de Matmata étaient d'origine Berbère et pour preuve jusqu'à nos jours, les gens de cette région parlent un dialecte apparenté à la langue Amazighe. D'après les documents d'histoire, dans notre région, il y a bien eu des tribus originaires du Yemen , en l'occurence les Béni Hillal, mais ceci constitue un tout autre volet de l'histoire d'Algérie ( voir les commentaires dans l'article toponymie ).
une fois il y avait une fete chez les Tablenehas (dont notre ami khathir actuellement ,qui est hospitalisé à Médéa et à qui je souhaite un prompt rétablissement) Djedda Ezzadairia faisait partie -bien-sur des invitées .le soir à l'heure de la prière ;notre dame a commençait par accomplir sa prière du soir ;et il y avait les jeunes filles qui chantaient à coté avec leur derbouka ,alors djedda Ezzaidaria au lieu de lire sa sourate ,sans faire attention ;elle chantait avec les filles !une autre vieille étonnée l'interromp et lui demande "qu'est-ce que tu lis ?" la vieille lui répond "Allah yhachamhoum elles m'ont trompé " .
elle n'était pas assez concentrée !
Allah yarhemha ainsi que tous les morts
Salem tout le monde
J'ai terminé le commentaire précèdent en parlant de notre vieille Ezzaidaria Ellah yerhamha .
Alors que j’aurai du dire Ramzia Ellah yerhamha que tous les anciens la connaissaient.
Elle était belle et très propre jusqu’à la fin de ses jours, très courageuse, et a accepté son destin avec notre grand tirailleur dans l’armée française qui habitait Ouled Abes et détaché au Liban comme haut responsable.
A son retour il a ramenait avec lui notre chère Ramzia comme femme,
Je me souviens quand elle racontait à ma grand-mère sa vie au Liban et comment elle a quittait sa luxueuse villa à Beyrouth et le grand escalier en forme de demi cercle qu’elle descendait.
Pour notre grand tirailleur que je ne veux citer son nom était très respecté chez les français.
On l’invitait à toutes les cérémonies de l’époque.
Durant son absence au Liban, ses terres lui ont étaient confisquées et vendues à Kleine je crois;
Et durant une cérémonie il leurs a dis : Nous on s’occupe à faire la guerre alors qu’ici on nous saisi nos terres.
Alors les autorités se sont arrangés pour lui rendre une parcelle de terre du coté de Ouled Abes.
Aujourd’hui on a beaucoup parlé à la télé des femmes, et malgré que le trou de mémoire que j’ai, est grand, cela n’empêche pas que des souvenirs me viennent comme ça .
Des femmes qui ont laissé leurs empreintes aux cœurs des djendellis et ailleurs.
Parmis elle y’avait khalti Zaidaria. Catte femme si forte corporellement et moralement ; elle a marqué sa présence presque dans toutes nos maisons à toutes les occasions ‘fetes, mariange ; naissance , décés , tahara …et tout
Y’avaient aussi Aicha mgtou3et edhraa,
Aicha Ezadka, celle que beaucoup de nos hommes la choisissent pour qu’elle accompagne leurs femmes au divers fêtées, et veillées et que ces femmes s’agaçaient en sa présence car elle leurs interdis toutes faux mouvement ou enlèvements de voies, elle les fait marcher en groupe.
Ah! je me souviens de cet ami (ellah yerhmou)qui aimait à nous raconter sa venue au monde , sa naissance, Il nous disait qu’a sa sortie du ventre de sa mère, il a vu les mains de Zaidaria l’accueillir ; ces mains étaient tellement dur ,muscles grande à la peau éclatée par les blessure des travaux durs, Lui ,notre ami , a eu peur, et a fait demi tour et attendre que d’autres mains plus belle et fines l’accueillent
Au fait, qui peut nous dire la nationalité de Ezzaidaria
Le temps est lourd, il fait chaud, et les gens ne se risquent plus au dehors, surtout l’après midi ,
L’internet est aussi lourde surtout avec le manque des cables téléphoniques
Seuls les jeunes et quelques ados qui se sauvent de chez eux pour aller aux points d’eau qui nous entourent.
Et l’eau devient de plus en plus sale,
Ces derniers temps les écologistes et autres défenseurs de la nature étaient entrain de chanter.
Ils ont beau crié , y’a pas d’échos .
Ces derniers temps on ne s’occupe que de soit.
Après moi c’est le…….
Donc on était ensemble ; pour l’année je crois que c’est écrit dessus .
Pour la photo je ne sais ou je l’ai enfuit. mais elle est dans les parages.et j’aimerai pas y chercher car si je tomberai dessus j’y resterai , avec les larmes faciles que j’ai .je m’oublierai dans le passe .comme ce vieux qui me disait :moi quand je trouve quelqu’un qui m’écoute j’ m’oublierais .
Enfin avec l’age qu’on a il faut s’y mettre à deux pour ce rappeler.
surement, puisque nous avions eu les memes enseignants, et comme directeur Mr boukhecha, mais je me rappelle plus de quelle
année, meme moi, je ne sais pas qui vous etes.
j'ai la photo de toute la classe, je l'enverrai plus tard à Mr Kaddour inchallah, pour la mettre sur le site.
Bonjour Fen
Peut etre oui, car moi j'etais chez Bouzar et Abdellah le syrien dont vous m'avez rappelé le nom.
Avant je vous ai pris pour une autre personne , mais maintenant je ne me retrouve plus si vous etiez la cette année.
donc Mr omar si comme maitre de français c'etait Bouzar Benyoucef et maitre d'arabe syrien s'appelait Abdellah? classe a droit CM2? et celle de gauche cour fin d'etude est ce bien ça?
Vous avez bien raison, car moi je suis arrive un peu après vous, chez Mme Kreumnaker, mais je me souviens que vaguement de ce qui se passait autour de moi , j’étais dans celle du coté droite du coté des Bencherifa ? Je me souviens de quelque élèves de nos voisins et nous étions mixte à cet age la , en cous d’initiation.
J’ai connu trois maitres : Mme Kreumnaker, Melle Jacqueline que peu se souviennent d’elle, et Mr Nadal le méchant. Je ne sais meme pas si j’ai avancé ou les connu en une seule année .
Mne Kreumnaker chouchoutait les enfants de familles aisés. Melle Jacqueline était un peu jeune, coquine et fofolle et Mr Nadal très nerveux.
Pour Mr Bouzar je l’ai connu un peu après. Mais j’étais plus tard Chez Mr Bouzar Benyoucef que Je salut par la meme occasion, C’étais toujours un grand maitre pour moi et je le respectais beaucoup.
Que celui qui le contacte lui passe le bonjour de la part d’un élève qui a pu passer la barrière grace à DIEU et le savoir faire du Mr B Benyoucef, en ces années si difficiles.
Juste apres l'independance, c'etait cheikh Bouzar rabbi yerhmou, qui ramenait le magicien, Mr boukhecha rabbi yerhmou c'etait bien apres à ma connaissance. est ce qu'il ya toukours ces classes en prefabriqué???avant l'independance, c'etait l'ecole des filles, unE classe pour Mme fortunier, et l'autre pour Mme merkadale ou Merkada, bien apres ils ont construit en face des classes a 2 etages, mais la batisse en entrant a droite, y etait toujours.
Oui je me souviens de ce magicien, c’était après l’indépendance,
Le directeur, c’était Mr boukhoucha elleh yerhmou, il aimait tant les élèves ;
Pour le magicien ; il nous faisait des tours si agressifs pour un enfant, en coupant sa langue , oh ce que je n’aimait pas voir ce geste , je fermais un œil alors que l’autre j’y mettais ma main dessus en ouvrant juste deux doigts le temps qu’il passe a d’autres choses.
Il sortait des foulards de toutes couleurs, les pigeons, les œuf, pour les œufs, il faisait des coups aux plus malins des enfants, ce qui nous fait éclater de rires et les embêter plus tard
Tout ça c’était à l’école en préfabriqué Belouenes actuel, je crois avant de construire ces classes en dur.
Avant les classes y’avait une fontaine toute couverte d’une herbes grimpante, et je me souviens bien du robinet en cuivre jaune de petit format sur un tuyau galvanisé, le tout attaché à un piquet.
Dommage je ne me souviens plus de ce gardien qui nous laissait boire à notre soif.
Moi je me rappelle bien de ce magicien que ramenait le directeur d"ecole rabbi yerhmou chaque fin d'année, et de la fete qui se preparait quelques mois avant, du souk chaque mercredi, meme de la bouteille ploum-ploum . c'etait le bon temps,et y avait (eniya welbaraka) tout ça est parti avec nessha , avant les gens etaient vraiment nweya,et se contentaient du peu qu'ils ont, ou hemdine rabbi.
maintenant rabbi yestor berka.
Omar est ce que vous vous souvenez de ce fameux Magicien qui passait nous faire ses trucs de magie à nous autres écoliers.
A une époque donnée , à chaque fin d'année scolaire il était là à nous jouer des tours et nous amuser.
On ne peut oublier ce temps.
Comme tout le monde n’est là, moi je sortirais pas dans mon auberge, plutôt du souk .
Je me souviens aussi d’un autre vendeur ambulant d’articles féminins, comme les parfums, les peignes de tout genre, le henné, fils à coudre en pelotes, le blanc et le noir… etc.
On trouvait aussi ceux de masculins, en ces temps le parfum « ploum-ploum » que j’aimais bien, il battait le record ces année là , les gens le demandaient, surtout les nouveaux maries.
Le vendeur, comme pour montrer la qualité du parfum, fait verser un goutte sur la main du client qui le passait sur les cheveux. Et pour nous les enfants, il fait semblant de verser alors qu’il pose son doigt sur le goulot de la bouteille.
On trouvait aussi chez lui ces fameuses brosses rondes (Machta mdawra)qu’on ne trouvait qu’en Algérie, On a découvert récemment que ces brosses sont bénéfiques pour la cuir chevelure.
Le souk rassembl&it beaucoup de monde, qui pour des amitiés, d’autres pour lier leurs enfants en mariage, mais aussi pour avoir des nouvelles de chaque région ou pour se donner des rendez-vous pour la waada de sidi flen.
Quand on voyait tous ces gens qui s’embrassaient avec des grands sourires, on dirais bien que c’est l’amour au nom de DIEU (Mahaba fi -llah) ,
Ou ces gens qui arrangeaient entre un vendeur et un acheteur, pour que finalement le vendeur lançait « ellah irrebah »
Cher Kaddour et fennec du moment qu’on ne trouve que vous, Un jour Kissinger(USA) a dit des Arabes : L’Arabe a deux personnalités différentes en lui, l’une au souk et l’autre chez lui.
Au souk, il fait tout pour baisser le prix de ce mouton qu’il veut acheter.
Chez lui, si ce meme vendeur frappe a la porte, il l’invitait et lui égorgeait ce meme mouton pour le partager ensemble avec ces enfants. C’était l’hospitalité, la vrai, et aucun ne peut les égaler.
Sauf que ces temps derniers beaucoup de facteurs ont change, ce qui a fait un effet néfaste sur notre personnalité, mais beaucoup de gens résistent au changement, malgré que leur époque n’est plus.
Comme notre cher eldjendli que je salue bien et qui n’a rien trouve d’autre pour ces invites d’Alger. Qu’un porc-épic.
Au fait j’aimerais bien savoir comment il a fait pour le déplumer.
Mes condoléances à la famille Chebli. Je garde De Hocine Chebli le souvenir d'un homme plein de sagesse et d'une droiture exemplaire.
Que Dieu l'accueille dans sa grande miséricorde.
Inna Lillahi oua ileyhi radjioune.
Hier on a enterre Hocine Chebli, beaucoup de monde l’a suivi jusqu’à sa dernière demeure. On sent qu’il a laisse un vide derrière lui.
J’ai eu une pensée de ce qui nous attend, et on n’est pas loin.
Puis mon regard est allé un peu loin, en face, du coté nord, la fraction de Meharza.
Elle était pleine de monde autrefois, la plus peuplée de la commune mixte de Djendel et la plus riche.
Elle a connue tant d’événements, ces événements qui se racontent verbalement
Mais autrefois y’avait des bureaux arabes qui écrivent et Mr Xavier Yacono le grand géographe en a pris des renseignements car l es le colonisateur a bafoué l’histoire et tous les documents de la période musulmane ont été retiré pour ne laisser que la période Romaine et française.
Enfin la région a connue beaucoup de maladie, qui beaucoup d’elle étaient la cause de la mauvaise gestion des colonisateurs.
En 1867, elle a était réduite au quart de son nombre, puis en 1892-93 et celle des années 1920 , l’après guerre ou presque tout le monde on a parlé de cette misère qui a poussé les gens à vendre leurs terres pour une bouchée de pain au colons qui se sont cru au Eldorado de l’ Amérique.
Que reste-t-il maintenant ? la fraction s’est vidé de ses habitants.
Maintenant les quelques habitants qui résistent, viennent marquer leurs présences sur leurs terres pour quelques travaux, car beaucoup d’autres l’ont fuit dans les années 91-2000.
Ici aussi on a quitté le cimetière , l’enterrement de 3ami l’hocine, s’est terminé et tout le monde vivant a laissé l’endroit à leurs occupants.
Ellah yerham eldjamie
Oh DIEU miséricordieux, acceptez l’hocine dans ton vaste paradis amine
Hier nous a quitte Hocine Chebli , et aujourd’hui son enterrement , c’était un brave type ,que DIEU ait son âme , ellah yerhmou birahmatihi elwassi3a , ina lillah wa ina ileyhi radjioune
Nous sommes toujours là,personnellement , je suis fidele au site,à chaque fois j'ouvre mon pc , c'est le 1er site que je visite , je lis les commentaires, seulement j'interviens pas, puis ma memoire fait defaut ya beaucoup de choses que j'ai oublié, je me rappelle des choses mais pas tout, certe ce souk etait extra, tous les mercredis les gens venaient de plusieurs endroits, pour vendre chacun ce qu'il a comme marchandise,étant jeune c'etait pour nous comme une fete.
A vous de nous rafraichir la memoire, un peu et nous raconter beaucoup plus de choses sur notre village Djendel S.V.P enfin ceux qui ont une bonne memoire biensur comme Mr bradai on ne lit plus ses commentaires, il a une memoire delephant allah eyberek,
Merci à bientot inchallah
Merci
L’endroit des boucher est au centre, ils accrochaient la viande sur le trépied de grandes branches taillées pour ça.
A droite, c’est les vendeurs de paroles ou de gestes si j’ose dire, sinon c’est le maddah ou jongleur.
Ah les maddahs ! il faut les voir raconter ces histoires des temps glorieux, sur nos ancetres, sur Sidna Ali avec son épée qui se termine par deux lames, Un coup a gauche et à droite et c’est des centaines de tetes qui tombent
Le maddah joignait le geste à la parole avec sa canne légère pour ne pas trop se fatiguer , nous menait en emportement tous à gauche puis à droite avec nos gueules grandes ouvertes sans se soucier des mouches venues de chez les bouchers qui tournaient autours sans pouvoir s’y poser.
Le meddah allonge son histoire selon l’argent gagnés, qui en fin de compte l’histoire fini bien pour tout le monde, lui ramassaient son argent et les gens retourne ailleurs pour critique ou se répétait les parole et gestes.
Les enfants se la répétaient le soir avec chacun, un baton coupé d’un arbre, aménagé en épée ou chacun est l’héros pour virer vers les trois mousquetaires, sinon les indiens et cowboys.
Quel charme ce meddah, aujourd’hui la tele lui a pique son role ; et on ne peut plus imaginer nos heros car nos enfants le voient en ce Madjed ou loubna sinon Kassendra .
On a tue l’imagination de nos enfants.
L’histoire ne s’écrit plus et nous, on continu à aller nulle part ;
Car ou sont passes les djendellis tel Zouaoui Djendel44 Bradai Mirou ,eldjendli ,guessoum,benyoucef, fenec, nanou et j’en passe car la lite est longue.
Cher Kaddour permettez mes gestes « du coc à l’ane »
Oui Kaddour, j'ajoute aussi :
Ma'adnous : maydanoz.
-Bourek : börek
-Chorba çorba :(tchorba).
Gaouri : gawri
N’oublions pas que beaucoup de mots turcs viennent de l’arabe qui nous revient un peu déformés.
N’oublions pas que beaucoup de mots turcs viennent de l’arabe qui nous revient un peu déformés.
Et beaucoup de mots qui nous lient sont du domaine culinaire, malgré que les turcs sont venus sans leurs femmes.
Moi je crois qu’eux comme les syrien ou les palestiniens, les irakien et tout le shem ; c’est les hommes qui se sont spécialises en cuisine et patisserie.
Ces Turcs qui se sont maries au algériennes, lui ont passe cet art.
Merci Omar pour ces explications très convaincantes. La présence turque en Algérie nous a laissé quelques mots turcs en héritage, comme " El beylek", et il semblerait également le nom de quelques spécialités en pâtisserie tels que " tcharek" et " baqlawa".
Salut kaddour , salut à tous
Les turc ont crée le souk, alors il ont mis en place des technique ou plutot une charte pour le faire fonctionner.
Alors le mot goumargui ç'a vient du turc : goumrouk et c'a s'écrit ; Gümrük. Qui vient de l’arabe jomrok ; Douanier
A revoir.
Oui cher Kaddour ,
Je me souviens aussi et surtout de ce jongleur qui pour augmenter l’enchère ; ajoute à chaque fois quelques centimètres de haut à cette corde que tenaient deux bonhommes des deux cotes.
Qu’il était dur cet athlète qui tournoyait au sol puis au ciel quelques cabrioles et passait au dessus de la corde pour tomber à pique sur ces pieds sans montrer de grimace ni ce faire du mal.
Il etait dur et musclé, et gagnait dur sa croute.
Omar nous a plongé dans une atmosphère authentique du souk de Djendel telle que certains ont eu la chance de la vivre en ces années de bonheur et de sérénité, C'était l'époque où la confiance régnait entre les gens : une parole suffisait et engageait la personne concernée.
Je revois encore du fond de ma mémoire les tentes dressées dans l'enceinte du souk et d'où se dégageaient pêle-mêle les senteurs des herbes aromatiques et celles la multitude de condiments. J'ai encore le souvenir du goût de ces frites de Ammi Lamri ( Rabi yerhmou); des frites rondes à 1 douro l'unité.
A propos, d'où vient le mot "goumargui", c'est-à-dire le placier du marché?
Salut à tous.
L'infirmier devant la portes du dispensaire c'est Bouamra l'farmli
A droite du dispensaire c’est Souk larbaa
Il était en service depuis la période Ottomane. C’était aussi une façon d’obliger les gens à payer les impots .
Deux entrées, l’une pour la marchandise, les animaux, véhicules… etc. et l’autre pour les gens du village et d’ailleurs.
A cette dernière on trouve toujours les memes personnes mais de fonctions différentes ; tels le gmargui, le berrah, le garde champetre et quelques curieux.
Parmi eux un vendeur de bonbons dont j’ai oublie son nom, se plaçait toujours à l’ombre de cet arbre, un eucalyptus.
Je reconnais que c’étaient de beaux bonbons de tous genres et couleurs. A l’époque de nouveaux en formes de boules tenues d’un bout par élastique pour la faire balancer avant de la mettre sous la dent.
Et pour mettre en valeur ces bonbons le vieux vendeur prenait une, la balançait en criant « khayar, khayar ».
En face de lui, les enfants, leurs yeux grands ouverts, passaient et repassaient la variété de bonbons ; tout en suivant le mouvement de la boule qui monte et descend le cœur chavire, la salive qui déborde ne laissaient aucun choix aux plus gourmands qui s’empressaient d’en prendre, de la balancer, la lécher puis aller s’évanouir dans la foule à la recherche d’autre curiosités.
Y’avaient aussi des activités qui s’y joignaient aux vendeurs de tout genre, tels le maréchal-ferrant, le coiffeur, , le sorcier,le meddah, les jongleurs, ainsi que des médecins/Talebs pour la rage des animaux , Dentiste, Hedjama …etc.
D’autres se plaçaient à l’extérieur du souk faute de place, mais c’était des petits vendeurs ou qui faisaient du troc de marchandises ; tels le miel le smen, gatrane, les volatiles, les lapins,….etc. Qui s’alignaient le long du mur , des deux cotes pour arriver jusqu’à la porte d’entrer de 3ami mostfa ( Cheikh Bouzar) ellah yerhou ,quel grand cœur 3ami mostfa, comment arrivait- il à supporter tous ces gens qui criaient chacun à sa façon pour écouler leurs marchandises et devant sa porte d’entrée.
Dans un temps, il y avait la sedra au alentour du souk, et les gens qui n’ont pu écouler leurs marchandises, tel le blé et autres, la cachaient sous des bosquets pour un mercredi prochain.
Quel agréable souk on avait !
Le Docteur SIMON avait un fils de mon age .Ce fils s'appelait Hervé Ensemble nous avons fait classe chez Mme Fortuny jusqu'en 62.Il avait aussi une soeur. On se rappelle se son casse croute pendant la recreation .IL nous en donnait ,certains ne voulaient pas manger .D'autres mangeaient avec appetit..
moha braday a une memoire d elephant .........
ce que je me rapelle aussi c est qu il y avait le cabinet du docteur SIMON qui etait mitoyen.c etait un generaliste qui avait beaucoup soigné gratuitement les demunis et les defavorisés ..........
C'était l'époque de ce fléau du typhus et du cholera qui a sévit pas mal de temps dans cette région . Et la région de Djendel en a beaucoup souffert. Que de familles entières ont été décimées. On enterrait les morts au plus vite. Dans cet espace qui fut cimetière, je me rappelle, on venait au souk et rencontrait parfois des ossements d'êtres humains qui ressortaient de terre. On les remettait à leur place., pour d'autres on s'éloignait pour pas marcher dessus.
Ce cimetière avait sa place pres d'un bassin , c'est là qu'on vendait le blé le jour de marché. Ce marché de Larbaat Djendel. avait une grande renommée comme celui d'El khemis et on y venait de toutes les contrées. Il y avait aussi la vente du bétail .L'abattoir du marché se trouvait tout près. Dans cette place on y vendait du bois et du charbon. Le charbon tout le monde en achetait surtout à l'approche du mois de ramadhan. Le gaz on ne le connaissait pas encore et toutes les maisons avaient une cheminée. L'hiver en voyant la fumée s'élever d'une chaumière ,on sentait qu'il faisait bon et chaud à l'intérieur.
Y’avait aussi le cimetière tout près de cet hôpital, juste à droite de l’entrée sud du stade (grande porte) , Avant la clinique, c’était au fond, à droite de souk .
D’où ce cimetière ? Si ce n’est l’annexe du dispensaire.
Le soin total est laissé aux nombreux fideles de ce blog en connaisseurs de cause de corriger mes propos. On peut le faire car chacun de nous possède une page d’histoire qui relate une version. Lorsqu’ arrivé à la fin de notre bout de feuille, on pourra constater et admirer qu’on a bien écrit l’histoire de notre petit village sans le vouloir que nous laisserons comme témoignage de notre passage.
La date de la photo rares qui pourront dire l’exactitude .J’ai questionné parmi ceux qui étaient gosses en ce temps ou cet hôpital n’avait aucune enceinte. Voilà ce que j’ai pu apporter. pour l’histoire de notre village
L’hôpital était construit alors que j’étais encore enfant parmi ceux qui ont atteint l’âge de dix, je me rappelle de quelqu’un prénommé ABAZA il parlait si bien le français que tous les habitants français et arabes l’estimaient. Il parait qu’il a une sœur actuellement en vie, elle est vieille maintenant. Celui dont je tiens ces propos est ne en l’an 1920.Donc on peut conclure que l’hôpital est construit entre 1900 et 1920.
Cet hôpital avait une bâtisse construite tous prés qui lui servait de morgue. On appelait cette batisse « Dar el mouta » la morgue .Elle était destinée pour les passagers inconnus décédés au cours de leurs voyages au village et dans les environs. Cette bâtisse appartenait au « Hakem » du village. Au cours d’un décès d’un inconnu, on le purifie selon les rites de la charia islamique. Le hakem fera sortir les gens des cafés maures du village pour l’enterrement.
En ce temps, le Docteur de l’hôpital était ALLARY « CHIKH LARY » dans notre langage on l’a tous connu. Sa villa est juste prés de l’église mais maintenant il est difficile de savoir s’il y a une villa cachée là. Son assistant s’appelait HACHEMI le fils du Caïd ABOUDI de OUAMRI (Borilye la Sapie) .
L’infirmier se nommait Bouamrane c’était le frère de CHEIKH HAMIDOU de DJENDEL.
Oui exactement du murier , je m'excuse, je me suis juste trompé de nom.
pour la date de la photo, peut etre qu'il y aura un des lecteurs qui pourra nous préciser la date.
Je tire chapeau à Mr Bradai, qui a une tres bonne memoire,je suis sûr que lui, s'il lira nos messages,repondra à ça inchallah .
Merci MR kaddour , et Mr bradai, pour tout ce qu'il ecrit, pour nous faire rappeler toute notre jeunesse a Djendel
A bientot
Aucune idée sur la date de cette photo, en revanche, pour les arbres que tu évoques, je pense qu'il s'agit plutôt de mûrier ( la myrtille étant un arbuste). Je vais mettre une photo de mûrier dans l'article sur les arbres et arbustes.
Amitiés.
Bonjour tout le monde
qui peut me dire, en quelle année a été prise cette photo svp?
moi je me rappelle de cet hopital, il etait cloturé d'une petit muret,au dessus un grillage,du lierre primpant, avec des fleurs violettes, à gauche de cette batisse , y avait 2 arbres de myrtilles(etoute).
Moi c’est surtout les piqûres. Ce qu’elle étais grosse la piqûre, mais j’ai assiste mon cousin à en extraire une ,ce qu’il a beau gueule, A part ça, 3ami djillali je l’aimais beaucoup,surtout avec son sourire toujours pressent, ellah yerhmou
Oui meme moi je me souviens de a3mi eldjillali Abdessemed allah yerhmou,et m'a aussi extrait une dent sans anesthesie,j'ai rien senti, il etait si gentil.
qui ne se souvient pas de ami djillali abdessemed!!il etait infirmier ,medecin et meme dentiste! il m'avait extrait une dent sans anesthesie car c'etait l'aid et il n'y avait pas de dentiste a l'epoque a djendel! j'ai vu des etoiles mais apres quel soulagement! allah yarhamou c'etait un brave homme tres serviable!
Du fond de ma mémoire, il me semble que cette infirmière s'appelait Louisette. Sa spécialité était d'administrer les injections en se rendant directement chez les malades. Après l'indépendance, il y avait Cherchali au dispensaire et Abdesmad Djillali qui avaient pris la relève.
oui je pense que c'est l'hopital de djendel!!qui se souvient d'une infirmiere qui y travaillait , que tout le monde appelait louisa! je crois qu'elle etait mariée a un militaire et tous les soirs elle faisait une promenade dans le village! .
Je pense bien, que c'est l'ancien hopital de Djendel,si je me trompe pas??????et y avait tjrs, une femme, si douce et gentille, qui s'appelait khalti yemna,s'occupait de la cuisine, on etait jeunes on partait chez elle,la regardant allumer les chauffages, en mettant elfhem,qu'on appelait je crois (cook)et y avait des malades hospitalisés,une grande chambre,avec qqs lits.
Dites moi si c'est bien ça????
Cette photo se situe là tout près où Mustapha Ferrouki a fait son premier meeting à Djendel Lavigerie.Il etait membre d'un parti politique avant la revolution de 1954. IL en est sorti grand vainqueur devant les caids de l'epoque : Bentaib et Bensouna.Ce grand personnage de la revolution a laissé une phrase ici meme à cet endroit en voyant une nuée de gens emportant le caid Bentaib sur leurs epaules jusqu'à Dar el Djoudje que tout le monde connait. Le colon Nadal lui tenait l'urne au moment du scrutin. Et tous les gens du village qui etaient majoritairement ouvriers agricoles ont failli perdre leurs emplois si ce n'est les autoritées de l'epoque qui ont incités les colons .Ce dispensaire fut apres l'hopital civil de lavigerie.
il se situe à l'entrée du village et la villa en face etait le logement du corps medical le medecin qui y exerçait .Maintenant, ce qu'on voit de ce dispensaire, un mur qui le cache et un autre gratte ciel qui a pris sa place. Une histoire qui s'efface de la memoire de djendel
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