DJENDEL-LAVIGERIE MON VILLAGE

DJENDEL-LAVIGERIE  MON VILLAGE

Ecole primaire 1963

Ecole primaire 1963
Ecole primaire 1963 :

Photo  envoyée par notre ami Mohamed Bradaï. ( Pour agrandir,  cliquer sur la photo  )

assis:herhour baghdadi,benaziza belkacem,bouzar bouzar,belkacem benyoucef,saidi tahar,zouaoui kamel,bouzidi djilali

benaziza draie,benzina athmane,zerarka mohamed ,bradai mohamed,bouzar kouider,benzina ahmed (hyd),
debout:kerabchi tahar,benyahia bensaid,bouzad slimane,samet miloud,meharzi mohamed,abdat said,dialem ali,zerarka aek
bouchoucha mohamed,benoui yahia,selouani mohamed,benaceur rabah,brahim erahmani mohamed,meharzi hadj,
benzina djeloul,torabi mohamed,sadli aek;belounes mohamed,bouragaa chikh;abdessamed mohamed,melah aek.
L’ INSTITUTEUR: Cheikh BOUZAR

 





Commentaires

  • Libertaa 1 message

    Mon grand père Miloud Samet

    • temps lointain
      temps lointain · 13 juin 2012

      Sur cette photo ,il y a un éléve dont je ne citerai pas le nom et à ceux qui le connaissent à travers ce qui suit le gardent pour eux .
      Nous etions en classe, dans cette ecole en prefabriqué la sonnette de l'heure de la recreation du matin tardait à retentir.
      Notre institutrice Mme Fortuny terminait son cours,lorsque un éleve leva tout haut sa main . il voulait quelque chose.
      Madame!!! Madame !!! je peux sortir s'il vous plait?.
      Voyant l'heure à sa montre,elle lui repond : Non ,et continua le cours.
      Quelques minutes apres ,il L'eleve refait la meme demande de permission:
      levant son doigt tout haut et à moitié deboutil s'ecria dans ce silence reignant dans la classe. Madame!!! Madame!!!je peux sortirs'il vous plait? à voir son visage tout rouge il voulait à tout prix sortir.
      Pour l'intitutrice,la recreation ne va pas tarder, la leçon etant trop importante.
      Elle lui redit la meme reponse .Non ,assieds -toi et ne recommence pas. L'eleve s'éxecuta mais mal à l'aise.
      Au bout de quelques minutes, l'éleve se précipita tout droit à la porte de sortie avec ces mots à la bouche;
      yA madame presque! ya madame presque !
      Et l'institutrice de lui crier à retourner et reprendre sa place.
      N'ecoutant que lui meme L'éleve toujours les mots à la bouche:
      Ya madame presque!!! Ya madame presque ouvrit la porte et sortit.

      Mon histoire s'arrete là je ne peux vous dire plus.

      • djendel 44
        djendel 44 · 4 février 2012

        SALUT mes frères,et bonne fète du mowled ennabawi à tous les musulmans.Et pour M.Kaddour que je salue ici,à DJENDEL pour les fètes religieuses, c'est toujours les mêmes traditions ,les mêmes rassemblements de familles et d'amis .La seule chose qui a changé, c'est la qualité des menus préparés en plus des beaux jouets offerts ,ils ont remplacés les jouets qu'on se fabriquait soit même avec du fil de fer et les boites de conserve. Les familles sont plus aisées de nos jours et se permettent tout pour les enfants Pour le malheureux chauffeur -Allah yarhmou -c'était effectivement GAHGOUH de son vrai nom M;Bénaceur oncle de rabah Benaceur. Au restaurant, il mangeait tjrs le bas du poulet avec les cuisses il appelait ça el -gahgouh. Moha Bradai a une mémoire d'éléphant ,il est comme ammi Abdelkader son père à qui je souhaite une longue vie ;

        • Kaddour (visiteur)
          Kaddour (visiteur) · 3 février 2012

          Merci mille fois cher ami et frère Mohamed Bradai pour tous les témoignages de mémoire que tu nous apportes à travers le blog.
          J'apprends donc que mon ami d'enfance Yahia Chebli est décédé, Allah yarhmou. Ainsi va le monde ...
          En cette veille de Mouloud, il me revient en mémoire, la commémoration de cet événement par l'achat de bougies que l'on allumait le soir après le repas. Chacun de nous choisissait une couleur de bougie et, on guettait sa consomption jusqu'à son dernier scintillement. Par ailleurs, c'était la période où l'on ne se privait pas des jeux de pétards; que de frayeurs et de mauvaises blagues ! C'était néanmoins une période d'insouciance malgré la pauvreté dans laquelle vivait beaucoup de familles.
          Merci Mohamed encore une fois.

          • moha brady
            moha brady · 3 février 2012

            Je peux vous le rappeler Kaddour.Il s'agit de "GAHGOUH" je crois aussi que "rabi yarhmou" (par rapport à l'age evidement)
            ce jour c'etait un apres midi,et un de ses passagers a ete emporté par l'oued ce jour là en crue.Le malheureux etait en KACHABIA et les eaux de l'oued l'ont emporté.Yahia Chebli (allah yarhmou) lui s'est accroché au cable reliant les deux rives .LA 403 est restée accrocher au flanc comme par miracle.

            • Kaddour 181 messages Site web/blog

              Merci de nous faire revivre ces souvenirs d'enfance inoubliables. Je me souviens de quelqu'un de Djendel qui avait entonné un jour une chansonnette qui disait " Ammi el Hadj radjel guellil yerfed achra oua igoule kalile !"
              Il y avait aussi un autre personnage haut en couleurs dont la voiture était tellement déglinguée qu'il est tombé un jour avec sa voiture et ses passagers dans l'oued Chéliff ! Un ami au nom de Chebli était un rescapé de cet accident. Le nom du chauffeur m'échappe et je pense que raisonnablement ( par rapport à l'âge), je peux dire " Rabi yarhmou"

              • Tarekokba
                Tarekokba · 24 janvier 2021

                Le chauffeur de la voiture (Peugeot 403) s'appelait BOUGHAIDA de la famille BENNACEUR allah yerhmou, il habitait à Oued Djemaa, il est mort il y a près de 5 ans à l'age 98 ans.

            • moha brady
              moha brady · 3 février 2012

              Salut Djendel 44.
              Une goutte de souvenirs qui fait bien son effet à ceux qui ressentent ce temps lointain.Pour le parent d'éleve je le connais comme ma poche ainsi que son fils et seuls ses vrais compagnons savent cette histoire" math ya mohamed el math" .
              Et pour ceux qui ont fait le lycée Ferroukhi et le C E T DE miliana se souviendront toujours de cette montée de Sidi Abdelkader d'E l khemis.Là ou la 403 bachée ne pouvait plus avancer et qu'on devait pousser malgrés le froid et la glissade de la pente.
              1DA c'etait trop demander à nos parents.Mais çà nous suffisait largement .Chacun se debrouillait à sa maniére son transport et sa bouftance.
              Peut etre que tous les Djendelois qui ont fait le "STOP" se rappeleront aussi l'endroit de cet edifice "Blachere" juste au carrefour SOUFAY; En temps de pluie c'etait là notre refuge .
              Il n'y a que ceux qui ont eu le merite de faire Djendel-Affreville à pied qui peuvent decrire ce que tu viens de nous rappeler de cette epoque DJENDEL 44.
              c'est tout un temps de notre vie que tu viens d'evoquer .Merci pour tout.

              • djendel44
                djendel44 · 3 février 2012

                moha m'a fait revenir 44ans en arrière ; et je me souviens d'un parent d'élève tjr vivant qui disais à son fils elmath ya mohamed elmath il voulait dire les mathematiques. à l' approche des examens scolaires
                nos parents étaient analphabètes pour des raisons évidentes mais dés l'indépendance de l Algérie -ce beau Pays-ils étaient motivés et se dépensés inlassablement pour leurs gamins -les cadres de demain .chose rare en ces derniers temps

                Pour revenir au calvaire de la navette entre Djendel et El-khemis :il y avait le bus de ammi Bendjelloul /ALLAH YARHEMOU et la bàchée de hamlili mais sa bàche était tellement déchirée qu' on la surnommé mcharmat et il y avait une troisiéme vieille voiture celle de ami Djillali rabi yarhmou et de temps en temps il y avait la 404 de M'hamed Benkhedjida de Ain Lechiekh
                on était un groupe d' une quinzaine d' élèves entre ceux du CEt du CEA et ceux du CEG BenBadis il y avait toujours deux volontaires pour nous louer l une des voitures- qui existaient à l'époque mostapha Benai le tank et Benzina ahmed spécial -rabi yarhamhom tous les deux le premier ingénieur à la télé mort suite à un accident de la circulation le second ingénieur aussi à L'ANP tué par le terrorisme aveugle. je referme la plaie pardon la parenthèse donc les deux amis louaient la voiture mais le problème il y avait problème on n' avaient aucun sous. on se sauvent dés l' arrèt de la voiture .nous on montaient à l 'arrière et nos deux volontaires étaient assis à coté du chauffeur ;ces deux là courraient plus vite que nous tous dés que la voiture s'arréte.Et .le soir ou le lendemain, le ou les chauffeurs allaient récupérer leur argent auprés de nos parents ..Et le lendemain rebelotte sinon on prenaient le train 11,c 'est à dire on faisaient les 17klm entre elkhemis et Djendel à pieds .rien que 3 heures de marche .rien que ça ! on prenaient le train 11 (nos pieds) 3à4 fois par semaine .Le seul qui ne pouvait pas marcher et courir comme nous c'était Benai AEK devenu aprés, un grand médecin .Lui aussi mort suite à une longue maladie -Allah yarhmou,oN DEVAIT FAIRE CETTE MARCHE A PIED NUS, pour marcher vite et pour ménager nos chaussures ..Le soulier doit servir une année au moins .
                Dans le temps le prix de la place était de 50centimes soit 0,50DA POUR CE TRAJET .Les parents nous donnaient 1DA chacun chaque jour pour le transport avec un bout de galette pour déjeuner .Quand on a faim' on bouffe l'argent du retour et il fallait se débrouiller pour rentrer le soir chez soit et aprés une petite pause revoir et préparer les leçons du lendemain .Il y a le bàton des parents en plus de la course et la concurrence saine entre les élèves des différents villages et qui fréquentaient le meme établissement c a d le CEM bEN BADIS .Et bien sur nos bons Directeurs et Professeurs qui nous suivaient partout .Cheikh ABBES le Directeur du CEG allait voir nos parents là où ils travaillent . méme au marchetAu débout de l'indépendance le parent ou le citoyen avait peur de se rendre dans une Administration .Et notre Directeur Ancien Moudjahed connaissais bien ça.Attala Allah fi omrihi.
                Et avant lui il y avait un autre G, c'était Cheikh Yahi ,Allah yarhmou .Il
                était partout pour ses enfants comme il aime nous appeler.
                Sans oublier les Hadjadji,.Orétégui,Dancer,Spais ,les Bensmaili...et j'en 'passe .La liste de ces Grands est trés grande
                C'est des Grands .Ils ont formés .Ils ont éduqués .Ils ont aidés .Ils ont fait beaucoup pour leurs élèves .pour nous avec de maigres salaires .Peut étre que la société les a oublié .Nous les avons oublié! Mais 'lHistoire ne les oubliera jamais .
                Avec peu de moyens ,et avec l'aide de tous il y a eu de bons résultats dans tous les domaines ! LE dit CEM recevait les élèves de 10 VILLAGES avoisinants la ville de Khemis Miliana cette cosmopolite qui a abrité la premiere Foire Internationale de L'Algérie indépendante en 1963 ;Aujourdhuit six CEM rien qu'a Djendel !!!
                Voilà cher Moha une goutte de mes modestes souvenirs et j en passe

                • moha brady
                  moha brady · 31 octobre 2011

                  De ces va et vient pour aller à Affreville, on etait pas nombreux.On prenait l'autocar .Un des rares autocars qui restait à Cluchier de ceux qui ont ete brulés. Son epave est bien restée des années aux abords de Oued Chlef avant de disparaitre. Ce bus prenait son depart du Barrage Ghrib,prenait d'autres passagers à Lavigerie et continuait son chemin à Affeville en passant par Ain Sulatn. La route menant à Ain Sultan est une montée, et cette pauvre epave toussait à des endroits et il arriva qu'au lieu d'avancer elle reculait. C'etait notre premiere peur avant d'arriver a nos maitres leur expliquer la cause de notre retard. Chacun prenait avec lui une pomme de terre cuite dans l'eau bouillante et un morceau de galette du soir en attendant le retour à la maison pour ce qui peut nous satisfaire . Ceux qui ont eu peur s'en souviennent fort bien de ces moments inoubliables de leur vie.

                  • moha brady
                    moha brady · 31 octobre 2011

                    Juste apres l'indepandance il eut cette année creuse.On ne savait ou aller.La plus part d'entre nous errerent entre Affreville et Lavigerie à la recherche d'un banc d'ecole. Je me souviens et grace à Cheikh YAHI (Rabi yarhmou) et Benai Mustapha (alah yarmou) qui s'est tant donné pour que j'ai une place à l'ecole Jules ferry d'Affreville. Al'arrivée de Cheikh Bouzar il rassembla ce qui restait de l'elite.Sur cette photo c'est tout ce qui restait. Et sur tout ce qui restait il n'y eut qu'une vingtaine qui n'ont pas eu le privilege d'etr inscrits soit au lycée Mustapha FERROUKHI, soit au C ET de Miliana soit au C E A D'Affreville. On peut dire que la chance a joué en votre faveur en ce temps ou il etait difficile à trouver un instituteur surtout pour les eleves arrivant à leur derniere année de scolarisation. Chacun de nous de cette periode se souviendra comment l'ecole de Djendel lavigerie a pu continué son chemin d'histoire.

                    • moha brady
                      moha brady · 25 octobre 2011

                      J ai beau essayé comme font les indiens pour suivre une piste dans un roc pour trouver une de tes traces dans un bivouac je n'ai trouvé que l'ombre de moi meme . Et pourtant j'ai lu pas mal de ces BD qui m'ont enseigné d'etre patient comme un apache .Et voilà qu'un indice va me permettre d'atteindre ma cible. A bientot Ahmed.

                      Bradai

                      • ahmed

                        Bouzar bouzar et Dialem Ali étaient mes anciens camarades de classe au C E G Benbadis de Khemis-miliana .Cheikh Bouzar ( père de bouzar bouzar ) je connais et je lui souhaite une bonne santé .

                        • moha brady
                          moha brady · 4 août 2011

                          Alors que la rue menant du carrefour (en ce temps inexistant) à la route de Medea n'etait en ce temps pas encore goudronnée mais simplement une piste etait une aire de jeu pour nous ecoliers de cette nouvelle ecole composée de deux classes separées d'un preau et d'un lieu de sanitaire le tout construit en pre- fabriqué .Une ecole pour les classes de CM1 ET CM2.
                          Au lieu des tables comme l'ancienne ecole c'est de nouvelles tables ou nos pieds ne touchaient pas le sol quand on prenait place sur nos bancs,Un encrier bien au milieu de la table decorée à chaque coté d'un emplacement pour chaque éléve pour sa porte plume et son crayon.
                          L'encrier etait rempli chaque matin par un eleve designé pour cette tache que chacun desirait faire pour remplir un peu plus son encrier.
                          En temps froid,on trouvait la salle de classe bien chaude par un poele à buches;les buches provenaient de la taille des arbres d'eucalyptus de la commune et chaque classe avait son propre poele.La femme de menage (rab yarhama) que nous connaissions tous comme une mére s'occupait bien de nous en ces temps froids.
                          On ne peut oublier sa cour, ou à chaque recreation qulqu'un de nous a senti une douleur en tombant sur ce parterre qui faisait notre joie de jouer.

                          • moha brady
                            moha brady · 4 août 2011

                            Parmi ces éléves , il y a peut etre qui se souviennent ....
                            C'est la sortie de classe, notre institutrice etait Mme Fortuny. Lifife le fils du Garde -champetre du village donna un coup violent sur la nuque de Benzina ahmed (hydraulique)et se sauva vers la porte pour sortir. Il tourna la tete une derniere fois pour voir comment son camarade a ressenti la douleur reçue, et c'est là que Benzina lui lança son porte- plume qui vint se planter juste au dessous de l'oeil.
                            Mme Fortuny attrappa Benzina et avec une bûche qu'on mettait secher sur le poele pour le lendemain, commençait à le frapper mais tous les coups etaient plutôt destinés au mur qu'à benzina...
                            C'etait il y a 50 ans.dans une ecole en prefabriqué.....

                            • MC (visiteur)
                              MC (visiteur) · 16 octobre 2010

                              salut

                              Avant tout je tiens a remercier la personne qui a creer ce blog, qui a certainement fait plaisir a beaucoup de personne qui sont natif de djendel ou a ceux qui ont eu un lien particulier avec ce petit village au milieu d'un espace naturel riche et splendide.
                              Djendel est une ville ou je passais mes vacances d'été et des fois d'hiver.
                              pour revenir a cette photos, qui d'ailleur je la vois pour la deuxieme fois depuis que j'etais enfant. C'est mon grand pére maternel qui me la montrer. Mon grand pére, C'est l'instituteur sur cette photo. Il y a aussi mon oncle que j'ai reconnu aussi.

                              Encore merci et bonne continuation.

                              A bientot inchallah

                              • MC (visiteur)
                                MC (visiteur) · 15 octobre 2010

                                salut
                                je suis tres etonne de voir la photos de mon grand pere maternelle sur ce site. c'est une photo que j'ai deja vu etant enfant et puis il ya aussi mon oncle sur cette photo.merci encore a la personne qui a fait ce blog.
                                la ville de djendel, c'est mon enfance, je passais mes vacances d'été et des rattrapages pour l'école chez mon grand pére.

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